Il existe aujourd’hui de nombreux outils numériques qui peuvent vous permettre de ne plus gaspiller votre temps et votre argent.
Voici le troisième épisode de notre série d’articles qui vous permettront de découvrir comment le numérique peut vous aider à mieux gérer vos affaires.
L’optimisation de la gestion des expéditions est basée sur l’identification des paquets et donc la sérialisation de votre inventaire. Pour en savoir plus, vous pouvez lire aussi "Faire plus et mieux avec moins, épisode 2 : l’inventaire".
Optimiser la gestion administrative
Automatiser les tâches répétitives
Le département des expéditions croule sous les papiers. Les employés de bureau passent des heures à saisir, manipuler et re-saisir des documents (bons de chargements, factures et autres). Une perte de temps incroyable et un risque d’erreur à chaque étape.
Grâce à un MES (Manufacturing Execution System) comme celui de EFFECTO OnSite, il n’y a plus de double-saisie : tous les systèmes, y compris comptables, sont interconnectés. Par exemple, on peut faire en sorte d’automatiser la génération des papiers de douane et des factures ou encore le transfert en comptabilité. Il s’agit d’un gain de temps et de fiabilité non négligeable.
Donner de la mobilité
On peut aller plus loin en apportant de la mobilité aux caristes. En effet, il est possible d’installer une tablette dans les chariots élévateurs pour que l’opérateur reçoive ses bons d’expédition sans se déplacer dans les bureaux ou passer par le chauffeur. Il a également accès au planning des expéditions pour les 2 à 3 semaines suivantes, ce qui lui permet de préparer les livraisons avant l’arrivée des camions. Si la couverture internet le permet, les informations sont en temps réel. Dans le cas contraire, il est possible d’avoir une interface hors ligne qui se met à jour quand le véhicule revient à proximité des bâtiments (et donc d’une borne WIFI).
Augmenter le volume expédié
Plusieurs clients nous ont rapporté qu’avec l’intégration du numérique sur les postes d’expédition et de chargement, ils avaient augmenté jusqu’à 50% le volume de produits livrés, sans ajouter de ressource humaine supplémentaire, ni dans les bureaux, ni dans la cour.